Malgré les combats, malgré les tortures, malgré la misère, malgré les destructions, l’homme fait montre d’une formidable capacité à tenter de vivre mieux et quelque fois à vivre autrement.
Le migrant quitte son continent affamé par une cohorte de dictateurs « amis », en quête d’une Vie meilleure.
Le Palestinien, l ‘Afghan, le Tchétchène et tant d’autres fuient les zones de combat à la recherche du calme indispensable à la Vie.
La nature frappe, des milliers de personnes, tout chagrin roulé en boule au fond de leurs destins, s’appliquent à continuer à Vivre.
Formidable énergie que la Vie !
Si nous étudions, parlons et communiquons autour des cultures c’est tout simplement parce que, nous même, nous avons été frappés par cette adaptation, ce mode ou cette force de Vie.
L’Afrique immergée au Japon que nous offre une européenne nous rappelle que rien n’est évident. Tout doit nous interroger toujours et partout les gestes, les attitudes, le temps, l’espace et …la présence d’un enfant dans un bureau.
Naissance, vie et … mort…
Vie…Mort.
Mort.
Mais quelle mort, ici, en Occident, semble nous dire Louis Naud Pierre qui lui est Haïtien?
Etre prêt à vivre sa mort, lui répond-on.
Et nous continuerons à nous interroger sur ces fondements culturels qui font que votre Vie, notre Vie, leur Vie n’est ni tout à fait la même ni tout à fait une autre.
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